Bronx (The)


BIOGRAPHIE

C’est en 2002 au cœur de Los Angeles que Joby J. Ford (guitare), James Tweedy (basse), Matt Caughthran (chant) et Jorma Vik (batterie) décide de monter le groupe. The Bronx a du talent et se fait remarquer par des labels après seulement deux concerts. Mais bercés par des groupes comme Black Flag ou Circle Jerks, les quatre musiciens souhaitent se débrouiller seuls, comme une formation punk Do It Yourself.

Ils enregistrent donc quelques mois plus tard plusieurs titres en autoproduction, qu’ils proposent aussitôt en téléchargement libre sur leur site officiel. Décidément un groupe très pressé, The Bronx va effectuer un enregistrement éclair en 2003, pour son premier album. Aidé par l’ex-Gun N’Roses, Gilby Clarke, l’ensemble des morceaux sera enregistré en une seule prise. Ce qui donne ainsi naissance au premier album, éponyme. Si le style se situe dans un rock’n’roll à forte influence hardcore ou même stoner, il n’en demeure pas moins que The Bronx va marquer les esprits dans un public bien plus large que celui des deux styles abordés. C’est donc dans le public « rock » en général que les quatre ricains se font entendre et fracassent les oreilles par leur son crado et leur attitude punk. En concert, Matt s’amuse à insulter ses partenaires de tournée, en interview il affirme que son groupe a énormément de talent… rien à faire, ils sont incontrôlables !

Mais comme il est désormais de coutume chez les groupes punk-rock (Rise Against, Anti-Flag…), The Bronx va en 2006 passer en major. C’est avec le label Island Records que les morveux décident de pactiser et de sortir leur deuxième album, toujours sans réel titre. Enregistré par Michael Beinhorn, le résultat est bien sûr beaucoup moins cradingue que sur le premier effort. Pas moins bon pour autant, le groupe va même jusqu’à offrir une balade en milieu d’album (le titre « Dirty Leaves » en l’occurrence).

Entre tournées et enregistrements, les quatre s’occupent de leur label White Drugs. Par l’intermédiaire de celui-ci, ils sortent plusieurs fois par ans le « Social Club », un club-single de The Bronx. Cela permet au groupe de se lancer dans des projets musicaux et d’en voir immédiatement le résultat en s’enfermant quelques jours dans un studio. Ils sortent alors les morceaux enregistrés au format vinyle, le tout en édition limitée. Idéal pour prévoir au mieux la sortie de l’album suivant. White Drugs s’occupe également du groupe parallèle de Matt et Joby, The Drips, ou ils sont accompagnés d’un Distillers, un Suicidal Tendencies et un Los Lobos. Rien que çà. Tout en étant forcément proche de The Bronx, le all-star-band offre tout de même une musique un poil plus dansante et permet d’allier puissance et mélodie.

Courant 2008, alors que l’écriture d’un nouvel opus vient de commencer, le groupe annonce qu’il prépare également un album de mariachi. Alors bien sûr, The Bronx énerve et fait causer les critiques. Il est clair que la petite mégalomanie des ricains et le je-m’en-foutisme à l’égard des fans a de quoi en énerver plus d’un, tout comme leur talent !

DISCOGRAPHIE

2009 - Mariachi El Bronx
2008 - The Bronx III
2006 - The Bronx II
2003 - The Bronx

LIVE REPORTS

07/08/2011 :
Hevy Music Festival - dimanche
24/04/2010 :
Groezrock 2010 - 2ème journée (Samedi)
16/12/2008 : The Kings Arms Tavern @ Auckland
The Bronx
27-28/04/2007 :
GroezRock Festival
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