Formé en 2005 comme un projet pas vraiment viable, Polar Bear Club naît à Syracuse dans l’Etat de New-York. Après une demo, un premier EP, intitulé "The Redder The Better", est publié en 2005 sur Triple Attack Records. Le buzz se fait rapidement et le groupe ne perd pas de temps recrutant un nouveau guitariste et un nouveau batteur (pour remplacer Bob O’Neil). Désormais plus stable et plus convaincue par la viabilité du groupe, la formation se compose de Jimmy Stadt au chant, Nate Morris (ex-Marathon) et Chris Browne (ex-Achilles) aux guitares, Greg Odom à la basse, et Emmett Menke à la batterie (ex-Marathon).
"Sometimes Things Just Disappear", le premier album paraît en 2008 sur Red Leader Records. Ce disque est d’emblée acclamé par la critique et propulsé par Alterntive Press dans le classement des 10 disques essentiels de l’année.
Dans ces conditions beaucoup de bruit est fait autour du groupe (qui vient de perdre Greg Odom, remplacé par Erik "Goose" Henning). Bridge Nine Records, label hardcore influent basé à Boston - et qui diversifie pas mal son roster depuis quelques mois - signe le groupe.
Le premier album du groupe est ainsi réédité en version vinyle au printemps 2009. Le groupe tourne sans relâche aux côtés de The Gaslight Anthem, Crime In Stereo, Frank Turner, Broadway Calls, Ruiner, Defeater ou encore Every Time I Die... Mais trouve quand même le temps d’enregistrer son deuxième album, "Chasing Hamburg", pour une sortie prévue à la rentrée 2009. Un EP 3 titres en forme de teaser (2 morceaux de l’album + 1 inédit) le précède de quelques semaines et s’intitule "The Summer Of George EP". A la même période le label B9 annonce aussi qu’il va rééditer le 1er EP du groupe.
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