Fake Problems démarre à Naples (Floride, USA) en 2001 sous l’impulsion de Chris Farren. Il s’agit au départ d’un projet solo où Farren joue de tous les instruments. Petit à petit, Fake Problems devient un groupe, avec les arrivées de Casey Lee à la guitare, Derek Perry à la basse et Sean Stevenson à la batterie, qui en font quatuor. Tous se sont rencontrés durant leur adolescence. Le groupe décide rapidement de se professionnaliser, et Stevenson va même jusqu’à abandonner l’opportunité d’entrer au prestigieux Berklee College Of Music à Boston.
Fake Problems revendique des influences diverses, punk-rock, folk, country, pop… et ses compositions incluent de nombreux instruments inattendus, comme la mandoline, le violon, mais aussi une section cuivres sur certains titres. Le groupe dit s’inspirer à la fois de Hank Williams et de Blink-182. En 2005, ils autoproduisent un mini album (un maxi ep quoi), Watching The Bull Get the Matador.
Fake Problems enchaîne les concerts, notamment en 2006 où il en donne 150, en compagnie d’Against Me !, The Gaslight Anthem, Riverboat Gamblers, Smoke Or Fire, Lemuria, Anti-Flag, Street Dogs ou encore The Briggs… et publient en 2007 sur Sabot Productions How Far Our Bodies Go, leur premier véritable album.
Le groupe poursuit son bonhomme de chemin et tape dans l’œil de Side One Dummy qui décide de le signer pour un prochain album. En juin 2008, ils entrent au Arc Studio d’Omaha (Nebraska), pour l’enregistrement de It’s Great To Be Alive, qui atterrit dans les bacs en février de l’année suivante. Avant une énorme tournée estivale…
Le groupe grandit en notoriété pendant l’année qui suit, et il ne s’arrête pas en si bon chemin avec l’annonce d’un nouvel album dès la rentrée de septembre 2010 : Real Ghosts Caught On Tape.
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