Ellwood


BIOGRAPHIE

Pendant que de ce côté de l’Atlantique on attend patiemment le nouvel opus de Mad Caddies (sans conteste l’un des plus grands groupes ska-punk de ces dernières années), leur chanteur, Chuck Robertson, s’ennuie comme un rat mort ou presque sur les plages de Santa Barbara. Alors il regarde passer les filles et laisse monter en lui d’irrésistibles envies de reggae. Mais pas n’importe quel reggae hein, pas celui avec des dreadlocks et des slips en chanvre, mais plutôt du son inspiré par Sublime, le groupe culte de Long Beach, un peu plus au sud.

Nous sommes en 2009 et Robertson téléphone à son pote Todd Rosenberg, batteur de son état et ancien de Mad Caddies (qui revient d’ailleurs de temps en temps), comme par hasard. Il s’adjoint les services de Graham Palmer à la basse et de Dustin Lanker aux claviers (un membre de Cherry Poppin’ Daddies, excellent groupe swing-ska-punk auteur du carton « Zoot Suit Riot ») et décide de s’occuper lui-même de la guitare parce qu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même.

En 2010, le groupe compose des titres à droite, à gauche et enregistre ici ou là, et à la Saint Sylvestre, Robertson discute le bout de gras avec Fat Mike, le Phil Spector du punk-rock, qu’il convainc de sortir le premier opus d’Ellwood sobrement intitulé « Lost In Transition » le 21 juin 2011, bien belle manière de célébrer la fête de la musique et l’arrivée de l’été.

DISCOGRAPHIE

2011 - Lost In Transition
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